Une centrale photovoltaïque, c’est quoi ?

Les centrales photovoltaïques sont des champs solaires qui sont disposés sur des structures en acier implantées dans le sol. Ces dernières peuvent être orientées vers le sud ou être dotées de trackers permettant de suivre la course du soleil. Pour transformer le courant solaire en courant alternatif, la centrale est reliée à des onduleurs. Un transformateur viendra augmenter la tension de ce courant pour le réinjecter sur le réseau électrique.

Comprendre l’agrivoltaïsme

L’agrivoltaïsme est un concept très récent s’inscrivant dans la démarche pour la protection de l’environnement et la production d’énergies renouvelables. En termes simples, l’agrivoltaïsme suppose l’utilisation d’un terrain à destination agricole pour l’implantation d’une centrale photovoltaïque. Ainsi, un terrain agricole jouera un double rôle qui est la production agricole et la production d’énergie décarbonée. L’agrivoltaïsme présente de nombreux avantages pour vous, en tant que propriétaire, et surtout pour l’environnement.

Grâce à la location de votre terrain à des professionnels comme https://www.agrivoltaisme.tech/location-terre-agricole-pour-panneaux-photovoltaiques, vous pouvez percevoir des revenus locatifs intéressants, vous pouvez en même temps continuer votre exploitation agricole et surtout améliorer le bien-être de vos animaux. L’autre avantage de l’agrivoltaïsme est qu’il vous protège des divers aléas climatiques comme la grêle, car votre exploitation sera protégée en permanence. Puis, pour ce type d’installation, vous ne vous occupez de rien. C’est l’entreprise qui se charge de faire les installations nécessaires. Cependant, il faut que votre terrain respecte les critères imposés.

Les types de terrains adéquats pour ce type d’installation

La centrale photovoltaïque peut être implantée sur différents types de terrains comme des zones naturelles ou agricoles. De plus, ce type d’installation est considéré comme étant d’intérêt général, donc le propriétaire peut bénéficier d’une autorisation d’urbanisme. Les centrales solaires au sol peuvent également être implantées sur des terrains pollués ou d’anciennes zones industrielles.

Écologique, moins de pollution

L’émission de gaz a un impact considérable sur l’environnement. Ainsi, l’État a exigé de nouvelles normes environnementales. De nombreuses firmes adaptent leur standard de production par rapport à ces normes comme les motos Alrendo. Adepte de l’écologie, vous témoignez votre responsabilité en utilisant cet engin. Par ailleurs, sa batterie contient un potentiel polluant. À l’issue des directives européennes en 2006, les constructeurs doivent recycler les composants des batteries au lithium à hauteur de 50%. Pour les batteries au plomb, le recyclage doit se faire à hauteur de 65%.

Économique, aucune dépense en carburant

La flambée des prix du carburant se fait de plus en plus sentir. Le scooter électrique est une excellente alternative face à cette épopée. Avec un scooter thermique, vous dépensez plus de 10 € pour une distance de 100 km. Si vous utilisez un scooter électrique, vous dépenserez moins. Le coût d’une recharge s’élève à moins de 0,20 € pour une distance de 60 km. Faites le calcul ! Vous verrez la différence. De plus, n’oubliez pas que vous bénéficiez d’une prime de l’État en utilisant cet engin. Vous pouvez profiter d’une réduction jusqu’à 15%. Certes, le prix d’achat peut vous rebuter. Mais pensez sur le long terme ! Son utilisation vous fera de belles économies.

Moindre entretien

Avec un scooter thermique, du moment que vous allez plus loin, une révision s’impose. Le scooter électrique ne nécessite pas ce même entretien. En effet, son moteur électrique est placé dans la roue arrière. Vous n’aurez donc aucun problème de chaîne, ni de courroie. Et encore moins des problèmes d’embrayage, ni au niveau des filtres à air et des filtres à huile. Concrètement, un scooter électrique est composé d’un moteur intégré, d’un contrôleur électronique et d’une batterie. Étant plus simple, sa partie motrice tombe rarement en panne. Par ailleurs, tenez compte de la qualité de la batterie. Son utilisation repose sur ses performances. Comme tout engin, pensez au maintien régulier des pneus.

Une autonomie élevée

C’est la pierre angulaire d’une alternative thermique. Le scooter électrique est très autonome. Si la batterie est bien chargée, vous pouvez parcourir de 50 km à 170 km. Mais cela dépend effectivement de la vitesse de votre conduite. D’après les statistiques de l’INSEE, la distance moyenne entre votre domicile et votre lieu de travail est de 5 km environ. Cet engin est donc efficace pour ce trajet. Pour une moto Alrendo, cette autonomie est de plus en plus évidente. Elle peut rouler jusqu’à 438 km en ville. Sur l’autoroute, sa vitesse peut atteindre jusqu’à 120 km/h.

Une conduite confortable

L’usage d’un scooter électrique est très facile. Il est doté d’un couple de démarrage immédiat, contrairement au scooter thermique qui doit monter dans les tours. Vous aurez la sensation qu’il accélère vite. Mais avec un peu de pratique, vous sentirez qu’il est très agréable à conduire. En outre, cet engin est silencieux. Vous aurez peut-être du mal à vous y habituer. Mais dans certains contextes, rien ne vaut un moteur silencieux. En revanche, soyez vigilant vis-à-vis des piétons. Au mieux, équipez-vous d’un klaxon bien audible.

Des résultats visibles

A partir des diverses études menées par les scientifiques, on retrace des changements inquiétants à l’échelle de la planète. La différence se constate surtout à l’issue des comparaisons effectuées au moyen de la cartographie. Ces comparaisons s’opèrent entre deux clichés qui sont espacés de plusieurs années de différence. Selon un article du magazine Nature, la hausse de la température a provoqué la perte d’une plus grande quantité de glace qu’auparavant dans une période donnée. Si entre 2000 et 2004, 227 gigatonnes de glace ont été perdues, on a alors relevé une perte de 298 gigatonnes entre 2015 et 2019. Cette perte se manifeste ainsi par le changement d’épaisseur des glaces. Il faut préciser que la vitesse de fonte varie d’une zone à une autre. On remarque que la fonte est beaucoup plus rapide en Islande et en Alaska notamment.

La conséquence du réchauffement climatique

La fonte des glaces est directement liée au réchauffement climatique. La situation s’avère irrémédiable. Les perturbations climatiques se font ressentir vite. Il est cependant possible de réduire la vitesse de cette catastrophe planétaire. En effet, l’action de l’Homme a des répercussions énormes sur celle-ci. C’est le résultat de l’essor du monde de l’industrie, mais aussi de certaines pratiques comme les feux de brousse. L’émission démesurée de dioxyde de carbone contribue à cela. La meilleure solution est de passer au vert dans son mode de vie. Par exemple, on peut prendre les transports en commun pour limiter l’émission de ce gaz. Le changement commence par soi, mais il serait opportun pour tout le monde de sensibiliser chacun. L’enjeu est de taille et il importe de secouer les consciences pour un avenir meilleur et surtout pour la génération future.

Comment se mettre en œuvre ?

L’une des meilleures manières pour préserver l’environnement est d’essayer de ne pas produire de déchets. Il serait pratique de penser au triage et au recyclage des déchets, par exemple, participer à une action collective organisée par une structure travaillant dans la collection et le traitement des détritus.
De nos jours, presque tous les foyers à travers le monde utilisent des véhicules individuels pour se déplacer. Or, cela accentue progressivement la pollution de l’atmosphère, sans compter les encombrements ainsi que les dépenses pour l’usager. Il existe différentes alternatives pour ne pas avoir à recourir à ce type de locomotion. Ainsi, le mieux est d’utiliser les transports collectifs, le covoiturage, un vélo ou autres moyens de déplacement qui n’occasionnent pas de pollution.

Autres bons gestes à adopter pour l’écologie

De manière générale, les produits chimiques ne sont bons ni pour les humains ni pour les animaux, et moins encore pour les végétaux. Ils sont toxiques et peuvent représentent un danger pour l’environnement. Ainsi, il est préférable de les éviter. A titre d’exemple, il vaut mieux se servir de produits à base d’éléments naturels tels que le bicarbonate de soude ou le vinaigre pour effectuer un nettoyage. Certains objets comme les bonbonnes de propane, les piles ou encore les contenant de peinture ne sont pas à jeter dans les ordures. De même pour les appareils électroniques comme les téléphones portables. Il existe des centres de collecte spécialisés qui peuvent s’en occuper.
D’un autre côté, il est judicieux de penser à réparer les objets cassés pour ne pas être obligé d’en acheter à nouveau tout le temps. Les produits durables et recyclables sont à privilégier. En outre, les produits en vrac sont aussi mieux que ceux avec beaucoup d’emballages. Afin d’éviter l’usage des sacs en plastique, il est préférable de penser à utiliser un sac d’épicerie réutilisable et de l’apporter à chaque course à faire.
Autre part, il ne faut pas oublier que l’eau constitue une ressource importante. Pour dire qu’il faut s’abstenir de la gaspiller. Pour ce faire, chaque particulier ferait mieux de mettre une carafe d’eau dans le frigo. Cela permet d’éviter de faire couler l’eau à chaque soif. Penser à mettre en place un aérateur de robinet est aussi une excellente alternative pour limiter la quantité d’eau utilisée chaque jour. La prise de douches devrait être le plus bref possible. Quant à la vaisselle, il est mieux d’attendre à ce que le lave-vaisselle soit bien rempli avant de l’activer.
Enfin, il faut tenir compte de la valeur du jardin. Le jardinage est un moyen idéal pour conserver les espèces végétales et contribuer à la protection de l’environnement. Ainsi, chaque foyer devrait installer un jardin autour de sa maison. C’est aussi valable pour les entreprises. Sans oublier de les protéger des bestioles qui peuvent provoquer leur altération.

Les statistiques qui parlent d’eux-mêmes

La situation est grave à l’heure où l’on parle. Cependant, les hommes préfèrent faire confiance aux chiffres, donc on va vous offrir encore quelques nombres. Les scientifiques estiment aujourd’hui qu’entre 70 % et 80 % des déchets localisés sur le littoral et la mer proviennent généralement de la terre. Par ailleurs, entre 60 à 95 % des déchets plastiques retrouvés dans le mode sous-marin sont systématiquement en provenance des emballages et des bouteilles conçus par l’homme. Les chiffres expriment 710 déchets par 100 mètres de littoraux. 300 millions de débris plastiques sont localisés entre la surface et 200 mètres de profondeur dans le bassin méditerranéen. Ce chiffre baisse à 50 millions dans le golfe de Gascogne et à 150 millions dans la mer du Nord.

La navigation humaine

La conquête de l’homme des océans n’est pas sans conséquence également. Les navires engendrent un chiffre colossal de déchet en cas de naufrages. Environ 6 000 tonnes de substances chimiques ont été déversées au large du Cotentin en octobre 2000 par le navire Levoli Sun. Il s’agit de l’une des pires catastrophes que la mer a connues. Les navires de la mafia italienne rejettent dans l’océan jusqu’à 35 millions de tonnes de détritus toxiques chaque année.

La marée noire

Les pétroliers engendrent un dégât irréparable sur l’écosystème marin quand ils ont des ennuis en haute mer. C’est le cas de Torrey Canyon qui a rejeté 118 000 tonnes de fuel en me en 1967. L’Amoco Cadiz a propagé 227 000 tonnes de pétrole en mer dans le Finistère en 1978. Exxons Valdez a versé dans la mer l’équivalent de pétrole capable de remplir 125 piscines olympiques. La catastrophe a décimé 300 phoques, 28 000 loutres et 250 000 oiseaux marins. En Galápagos, le navire Jessica a tué 25 000 iguanes avec 1 000 tonnes de pétrole déversé en mer.

Quelques boues

Il existe plusieurs sortes de boues. Par exemple, les boues huileuses sont gorgées d’huiles, en plus de renfermer des hydrocarbures ainsi que des graisses minérales. On peut également y trouver de la graisse végétale. Mais également, on est susceptible d’y découvrir de la graisse animale. Les entreprises spécialisées dans la pétrochimie sont de grosses productrices de boues huileuses. Les boues biologiques apparaissent suite à une épuration biologique des eaux. Elles abritent énormément de corps bactériens se développant au milieu de leurs sécrétions. On distingue également la boue des stations d’épuration, plus connues du public. Les puisards aussi, à la longue, finissent par contenir de la boue.

La réduction des boues d’épuration

Dans une station d’épuration, il est essentiel de réduire les boues dans l’objectif évident de ne disposer au final que d’une petite quantité à stocker. Cette réduction du volume facilite le traitement de la boue qui a « survécu ». Le traitement consiste à stabiliser cette boue « récalcitrante » afin de parvenir à améliorer ses spécificités physique. Dans le même temps, la stabilisation fait cesser la biodégradation qui se produit au sein de cette boue restante.

Les boues huileuses ou boues d’usinage

Ces boues proviennent généralement des industries pétrolières et des industries pétrochimiques. Il est primordial de trouver une solution à ces boues huileuses, car il s’agit d’une matière contaminée, parfois même fortement polluée. Réduire les boues huileuses signifie, généralement, que cette substance sera envoyée dans un décanteur centrifugeur avant d’être déshydratée et séchée. Sachez que la décantation permet d’extraire de la boue des hydrocarbures qui n’ont pas à être jetés ni détruits. Ces hydrocarbures peuvent très bien être recyclés dans une raffinerie. Naturellement, il existe aussi des boues sans hydrocarbure, mais elles sont minoritaires.

Le devenir des boues huileuses

Après la réduction décrite auparavant, la boue peut alors être traitée en vue d’être recyclée dans un four de cimenterie dans le cas où le traitement se fait à basse température. Lorsque le traitement est réalisé à haute température, la boue atteint le seuil de pollution exigé par la législation et elle ne constitue plus qu’un déchet à éliminer. Tous les recyclages en matière de boues, qu’ils ont lieu lors de la réduction ou du traitement, sont désignés par le terme « valorisation ». Dernier point, la boue huileuse n’est pas à confondre avec la boue de forage.

La réduction des boues des lagunes d’épuration

Une lagune d’épuration est un étang dont la profondeur est assez faible. Cette spécificité est importante compte tenu du but de ce plan d’eau : le traitement naturel des eaux que l’on appelle lagunage ! En effet, parce qu’elle est peu profonde, la lumière solaire peut balayer son fond. C’est l’action combinée de la lumière solaire, des bactéries et de l’oxygène qui permet de nettoyer les eaux déversées dans la lagune. Il est clair que la nécessité d’une réduction régulière de la boue qui repose dans ces lagunes ne se pose plus : elle permet un nettoyage en profondeur. Cette opération est baptisée curage.

Les panneaux photovoltaïques sont un important investissement qui rapporte

Investir dans les panneaux photovoltaïques nécessite une importante somme d’argent. Toutefois, la rentabilité rapportée est également considérable. D’abord, il faut savoir que le prix d’installation d’un panneau photovoltaïque dépend de son énergie, mais en général, il faut prévoir entre 11.000 à 13.000 euros. Il faut ajouter à cela le coût du branchement au réseau EDF si l’actionnaire désire revendre l’énergie. Ainsi, l’installation des panneaux représente une fortune qui est souvent difficile à trouver surtout depuis leur écartement du crédit d’impôt 2014. Néanmoins, l’énergie solaire demeure un investissement rentable puisqu’il s’agit d’une source de revenus garantie pendant plusieurs années. Eh oui, quand un particulier dispose de panneaux solaires, il peut adopter le système de l’autoconsommation, mais il peut également revendre l’énergie à EDF. Pour qu’un projet d’installation de panneaux solaires revienne moins cher et fasse gagner de l’argent à un ménage, ce dernier peut opter pour investissement photovoltaïque avec Mes Conseillers. Ainsi, il pourra économiser sur les factures d’énergie et fera des bénéfices avec la revente d’énergie solaire. A noter que la revente d’énergie solaire est très lucrative, car la valeur de rachat est nettement supérieure par rapport au prix d’achat de l’électricité traditionnelle.

Les autres avantages d’investir dans l’énergie solaire

Investir dans l’énergie solaire représente d’autres avantages non négligeables. Par exemple, en investissant dans l’énergie solaire, vous aurez une conscience plus tranquille en adoptant une vie plus écologique, puisque vous participez à la protection de l’environnement. En effet, il est parfois difficile de vivre sereinement tout en sachant qu’on détruit petit à petit notre planète en optimisant l’émission de CO2. En utilisant des énergies renouvelables, nous aidons beaucoup à la préservation de notre planète. En outre, l’utilisation de l’énergie solaire est plus simple, plus pratique et plus fiable. Il s’agit d’une énergie de source naturelle stable et propre.

Participez aux programmes de retour et de recyclage des matériels informatiques

Chaque marque de matériel informatique comme HP, Toner, Intel propose des programmes de retour et de recyclage des matériels informatiques. Elle propose aux clients de lui retourner les produits usés afin de les recycler ou les réutiliser. Près de 80 % des cartouches jets d’encre sont recyclés dans le but de minimiser l’exploitation des matières premières, mais également de réduire la pollution de l’environnement. Tous les déchets sans exception sont collectés par la marque concernée. Certains d’entre eux peuvent être bien retraités et valorisés. Le reste est éliminé dans le respect total de l’environnement. Il convient cependant de noter que toner services est un acteur majeur du recyclage de cartouches d’encre. La marque propose ensuite aux clients des cartouches 100% compatibles. Pour faciliter la collecte des déchets de consommables informatiques, des points de collecte sont installés dans les villes et les quartiers.

Des services en plus pour les entreprises

Si les particuliers sont priés de rapporter leurs déchets de consommables dans les points de collecte agréés, les professionnels bénéficient d’un service en plus. Ils peuvent bien sûr transporter leurs déchets vers ces points de collecte. Mais au-delà d’une certaine quantité de déchets, les sociétés informatiques proposent de les ramasser sur les sites du client pour les transporter elles-mêmes vers un centre de recyclage agréé. Quoi qu’il en soit, le client se doit de fournir les emballages de transport comme des caisses ou des palettes pour rapporter les déchets. Quelle que soit la quantité des déchets à transporter, le client ou l’utilisateur peut demander aux sociétés informatiques (la marque concernée par exemple) de venir les collecter. Dans ce cas, il faut effectuer une demande et prévoir les frais d’enlèvement.

Le Brésil

    Le Brésil est une destination de rêve pour faire de l’ecotourisme. Vous y trouverez la forêt amazonienne, plusieurs parcs nationaux comme Abrolhos, Chapada Diamantina ou encore Bonito. Le pays possède également des îles avec des paysages intacts ainsi que des réserves ornithologiques. Comme activité, vous pourrez faire du Canoë, des balades en cheval ou bien dormir dans des refuges.

Le Canada

Le Canada a le plus grand parc transfrontalier au monde, s’étendant sur plus d’un million d’hectares. Il est connecté au parc national du Glacier Bay d’Alaska. Vous pouvez y faire de nombreuses expéditions dans la nature ou des randonnées. Vous pourrez également observer les oiseaux. Vous aurez l’embarra du choix entre les 36 parcs nationaux du pays où la nature y est restée intacte.

Le Kenya

Au Kenya, l’ecotourisme a une grande place afin de préserver les richesses naturelles du pays. Ainsi, vous y trouverez un écosystème pur et simple. Beaucoup de choses sont à faire au Kenya comme des safaris, des ateliers d’arts crafts ou encore du bénévolat dans le domaine de l’écologie.

Dubai

Contrairement à ce que l’on puisse penser, Dubai est une belle destination pour faire de l’ecotourisme. En effet, il possède un grand désert incroyable où vous pouvez faire des randonnées à dos de chameau. Une visite guidée est conseillée pour ne pas se perdre. Il y a aussi une réserve naturelle avec de nombreuses espèces d’animaux.

Les villes les plus polluées au monde

La qualité de l’air est un problème qui commence à poser problème sur notre Terre actuellement, surtout dans les grandes villes. Cette pollution augmente le risque de différentes maladies cardiaques, respiratoires ainsi que les cancers. Les villes des pays émergents sont les plus touchés par ce fléau. Voici une liste des villes les plus polluées au monde.

Ahwaz, Iran

La ville d’Ahwaz tient la première place la plus triste de la planète en étant celle qui est la plus polluée. Le quotidien de la ville est caractérisé par un épais nuage de smog. Les chiffres montrent une concentration de particules fines pouvant atteindre les 372 microgrammes par m3. Or, l’OMS a fixé le seuil à 20 microgrammes par m3.

Oulan –Bator, Mongolie

La ville de Oulan – Bator est la capital de Mongolie. C’est aussi la capitale la plus froide au monde. Sa deuxième place dans cette sélection n’est pas due à des usines, ni au nombre de voitures qui y circulent, c’est leur système de chauffage à l’ancienne qui pose problème. En effet, la population y utilise des poêles pour se réchauffer.

Sanandaj, Iran

La pollution de l’air de cette ville d’Iran est de 254 microgrammes de particules fines par m3. Ce qui lui vaut la troisième place des villes les plus polluées au monde. La ville possède plusieurs usines de coton, de tapis, de boiseries ainsi que d’articles en métal.

Ludhiana, Inde

La ville de Ludhiana est la plus grande ville du Pendjab indien. Quatrième dans le classement des villes les plus polluées au monde, elle est la plus polluée de l’Inde. En effet, selon l’OMS, les particules fines de l’air sont de 251 microgrammes par m3.

Quetta, Pakistan

Quetta est la cinquième ville la plus polluée au monde. La pollution de l’air y est surtout causée par les moyens de transport et les usines. On y recense un nombre très élevé de maladies relatives à cela.

Recycler le papier : de réels avantages

Recourir au recyclage du papier offre d’importants avantages. C’est simple et c’est peu coûteux. Les papiers et les cartons de nos jours ne proviennent pas uniquement des arbres. Une grande quantité est issue du recyclage des papiers usagés.

Le processus de recyclage est d’autant plus favorisé par la présence de la fibre de bois biodégradable dans le papier. De plus, cette matière ne contient pas de substance toxique. Ainsi, il devient tout a fait possible de recycler la même fibre plusieurs fois. Recycler le papier constitue également une option idéale pour préserver les forêts.

Recycler le papier : du mode d’emploi

On peut très bien recycler le papier suivant le procédé mécanique, chimique ou thermique. En optant pour la méthode mécanique, on récupère le papier pour le réutiliser. Avec la technique chimique, on traite le papier pour lui redonner une seconde vie. Toutefois, cette méthode est peu pratiquée du fait que le traitement rejette du CO2 dans l’atmosphère. Pour le procédé thermique, le papier est brûlé pour obtenir de l’énergie.

Pour ce qui est des étapes de traitement, on doit avant toute chose collecter la cellulose contenue dans le papier. Par la suite, elle sera dissoute et broyée dans de l’eau et des adjuvants. Au final, on la réduit en de paillettes ou de flocon qui sera par la suite trituré. Séparées des déchets, elles subiront ensuite un traitement chimique et thermique. Enfin, les flocons seront séchés et transformés en bobines de papiers recyclés.

Recycler le papier : quel type de papier ?

Contrairement aux idées reçues, tous les types de papier ne se recyclent pas. C’est le cas notamment des enveloppes couleur, du papier carbone, du papier calque, du papier photo, du papier plastifié et du papier souillé par la nourriture. Les produits contenus dans ces papiers rendent le recyclage peu écologique.

Recycler le papier : pour la réutilisation

L’aboutissement du recyclage du papier tend vers la réutilisation. La bobine de papier recyclé rejoint les usines de papeterie pour être transformée en produits finis. Le papier recyclé peut être utilisé pour la conception de fibres courtes et fines indispensable dans la fabrication de papier hygiénique. Le papier journal peut aussi être issu de la transformation des papiers recyclés.